Des vœux ou déjà une réalité en 2014
I have a dream
Disons-le, l’année 2014 s’annonce prometteuse pour notre cause et j’émets le vœu que nos membres et sympathisants y contribuent largement. Nous les remercions chaleureusement de leur engagement sous toutes ses formes .
Et oui les signes annonciateurs se multiplient et c’est de bonne augure. Revisitons rapidement les principaux et dans la prochaine publication nous évoquerons les perspectives pour l’année qui s’ouvre :
Bruno Martin le disait déjà dans les années 80, de plus en plus d’entreprise se libèrent des modes d’organisation et de management du XXe siècle fondés sur le contrôle et la hiérarchie, mais la plupart n’en font pas la publicité. Ceux qui ont fait le choix d’être médiatisés ne sont pas légion, nous en avons recensé une quarantaine, mais ceux qui ont fait le choix de ne pas être médiatisés sont plus nombreux, les derniers connus : IMA Tech’ à Saint-Herblain et AMI-API en région rennaise.
Les personnalités médiatiques comme Jean-François Zobrist, Xavier Fontanet et Issac Getz mais aussi des chefs d’entreprises françaises – Michel Hervé, Carlos Verkaeren, Michel Munzenhuter, Jean-Michel Quéguiner, Julien et Frédéric Lippi… sont de plus en plus sollicités et ne peuvent plus répondre à toutes les demandes de conférences et de témoignages. Leur constat unanime au contact des chefs d’entreprise présents dans les conférences fait état d’une montée croissante pour changer leurs modes de fonctionnement.
Il semble qu’on soit à la veille d’un basculement pour reprendre le principe chinois décrit par François Julien. Les ouvrages, les blogs, les posts sur les réseaux sont exponentiels et le mot « bonheur » n’est plus interdit de séjour dans les entreprises, même les grandes.
L’histoire de Laurence Vanhée qui a pris le titre de Chief Happiness Officer – Directrice du Bonheur – à la SPF Sécurité Sociale belge, a fait le tour de la blogosphère, et même plusieurs fois.
De là à dire que les Orange, La Poste ou Renault sont devenus des modèles de sociocratie, il y a un (grand) pas que je ne franchirai pas. Le mouvement de fond vient essentiellement des petites et moyennes entreprises mais il est de plus en plus présent dans les grandes sous diverses formes auxquelles notre association apporte sa pierre d’ailleurs : nouvelles pratiques en matière d’innovation, de conduite de groupes de travail, de participation des salariés aux décisions…
En 2014, MOM 21 a décidé de mettre les bouchées doubles pour améliorer et développer ses moyens d’action. Une équipe renouvelée est au travail. On vous tient au courant.